Err

QUI SOMMES NOUS ?


NOTRE ADRESSE

15 rue des juifs

67000 Strasbourg

France


NOUS CONTACTER

Tel : 03 88 35 60 20

Mail : boutique-monogram@orange.fr


HORAIRES D'OUVERTURES

Lundi :

14:00 - 19:00

Mardi :

10:00 -19:00

Mercredi :

10:00 -19:00

Jeudi :

10:00 -19:00

Vendredi :

10:00 -19:00

Samedi :

10:00 -19:00


DESCRIPTION


Il y a presque un demi-siècle, Jean-Luc Lafage tombait amoureux de Strasbourg, de son marché de Noël et sa cathédrale. Il y fonda Monogram, un espace unique dans la capitale alsacienne, où se côtoient pour le plaisir stylos et papiers haut de gamme. De quoi redonner à toute une génération le goût d'écrire avec des instruments et des supports de qualité authentique.

Une adresse irremplaçable pour tous ceux qui aiment les beaux stylos, les papiers et la maroquinerie de qualité. Ici, le rêve des beaux objets prend corps, le chic est décliné version Carand’Ache, Parker,Graf von Faber-Castell et autres marques prestigieuses.

« Je suis Bordelais, fils de viticulteur à Pomerol. J'ai longtemps vécu en Grande-Bretagne, j'ai travaillé à Paper Chase, un grand magasin de stylos/papeterie. Les Anglais sont très friands de beaux stylos et de beaux papiers ». D'où son envie de créer un lieu de vente équivalent de ce côté-ci de la Manche.

L'aventure commence : "je me suis mis à la recherche de vrais artisans, de fabricants de papier, de cire à cacheter, d'encre, de plumes, de porte-plume, ou de papier vélin. J'ai voulu retrouver les matériaux nobles qui devaient servir à l'écriture ». Restait à réunir tous ces talents rares et éparpillés. Ce que Jean-Luc Lafage a réussi à Strasbourg, ville qui l'a aussitôt charmé et où, en 1982, il ouvre sa première boutique. Ses débuts furent consacrés aux stylos anciens, les vieux Parker ou Waterman de nos parents ou grands-parents. Ce concept n'existait pas, ce fut un gros succès. Cinquante ans plus tard, Monogram et sa petite sœur Filigrane à Colmar sont des papeteries modernes, chaleureuses avec de lumineuses vitrines.

Le propriétaire des lieux, assisté de trois personnes, ne s'en cache pas : « Nous sommes la référence à Strasbourg ». Qui en douterait ? En vrai amoureux de l'objet de qualité, il essaye d'abord de « faire passer du rêve. Chez moi, on cherche un conseil. Je suis très pointu en stylo. Je choisis ma gamme en fonction de mes exigences, ce qui m'amène à une amplitude de prix très large ». De 50 à 2 000 euros, d'un stylo bille à un stylo plume en série numérotée, l'éventail est large. Il avoue des goûts très italiens : Montegrappa, Visconti, mais pas seulement, il présente aussi Faber-Castell, Pilot, Parker... Lui seul sait comparer, à plume équivalente, un classique Caran d'Ache et un Faber-Castell plus contemporain. Ses connaissances en la matière s'appliquent également à la réparation des stylos, un travail minutieux qu'il propose également. À l'écoute de ses visiteurs émerveillés ou indécis, il apporte le plus qui fait la différence, la vraie connaissance de leurs aspirations. « Je veux émerveiller, je veux que mon client dise : Ce cadeau correspond à la personne à qui je vais l’offrir ». Un stylo c'est un message. On a tous eu un beau stylo dans notre vie. S'il y a un sourire, c'est que le stylo procure une extase. C'est gagné ! »

Depuis début avril 2008, Monogram a souhaité utiliser les technologies modernes, en créant son propre site vendeur afin d’être plus proche de la clientèle, et de promouvoir encore plus ses articles.

L’aventure continue maintenant depuis le 1er Avril 2017 dans un nouvel espace de vente spacieux  et lumineux au 15 rue des Juifs !                          



Monogram dans la Presse

If you feel inspired to do some sketching or scrawling afterward, the city’s most elegant stationery store is steps away: Monogram. Don’t miss the display cases filled with handcrafted Namiki-brand fountain pens from Japan. Each is an individual artwork embellished with gold dust and lacquer (€1,580 to €2,850). Less extravagant items also abound, including rustic leather-bound notebooks by Lamali (65 euros) and scads of greeting cards, wrapping paper and bookmarks.

In the New York Times 06/10/2024